Le Jasmin s'épanouit la Nuit... moi aussi.

Bonne soirée à tous

Il est là, dans le salon. Il prend toute la place du haut de mes 5 ans. Je ne vois que lui. Je m'en approche, en fait le tour, le regarde, l'examine. Il a été sauvé par mes parents, rescapé du feu. Il est intact. Je soulève son couvercle, laissant apparaitre un nom et une date : Les frères Blondel, 1900. Je laisse courir ma main, quelques secondes à peine, sur les petites touches jaunies par le temps. Une mélodie sort du meuble. L'objet parle!!! Quand je vais d'un coté, la voix du piano ressemble à celle d'un dragon. Quand je vais de l'autre coté, elle ressemble à celle des oiseaux. Mais j'entends dejà mes parents qui m'appellent. La voix mysterieuse s'est tut...

Mais c'est décidé... un jour, je ferai du piano!

Une journée de solitude, c'est une journée avec soi-même

Une journée de silence, c'est une journée pour s'écouter...

Des coeurs seuls qui pleurent
Le long des rues de hasard
Des envies qui se perdent
Et d'autres qui s'égarent
On court tous après quoi
Pendant que sous nos toits
Il reste encore je crois
De la place pour de l'amour
Encore et toujours
Pour de l'amour

Si je saigne, si je peine
Si je pleure sur mon sort
Si je traîne, si je sème
Des pétales sur vos corps
Si j'oublie d'où je suis
Et qui me mènera au port
Si je vais, sans regrets
C'est par absence...
Sans doute...
par absence d'amour

Des rêves qui s'évadent
Aux mers de tous les soleils
Des pensées qui s'attardent
Et d'autres qui s'éveillent
On court après le vent
D'Espagne... en Orient
Il reste encore pourtant
De la place pour de l'amour
Encore et souvent
Pour de l'amour
Encore et toujours...

Si je saigne, si j'en crève
De froid quand l'hiver est fort
Si je vis, si je prie
Les étoiles, les astres morts
Si j'osais... si j'étais
Quelqu'un d'autre,
quelqu'un de fort
Je le sais, puisque c'est...
C'est par absence...
Sans doute...
Par absence d'amour...

On les appelle aussi le Petit Peuple, le Bon Peuple, et de bien d'autres façons. Cette communauté internationale d'êtres immortels est originaire d'Italie où les Fées s'appelaient fatae, « destinées ». En France, leur nom déformé donna fée. La fonction des premières Fées, était d'apparaître dans une maison après une naissance et d'offrir des dons au nouveau-né. Si la famille du bébé les traitait avec tact et sensibilité, elles faisaient don à l'enfant de beauté, de calme et d'amour. Mais si, lors de la cérémonie, une Fée se sentait offensée, elle jetait sur l'enfant une malédiction. Au cours des siècles, les Fées ont toujours rempli cette fonction, mais elles ont élargi le champ de leurs activités.

Leur morale est la suivante: « Un service (bon ou mauvais) en vaut un autre.»

L'attitude des Fées envers les humains va de la dangereuse malveillance à un réel désir d'aider et de faire plaisir. Lorsqu'elles apparaissent sous l'aspect de petites femmes avec des ailes et des baguettes magiques, elles se conforment à l'image que les humains ont d'elles. La magie que dispensent les Fées, connue sous le nom d'enchantement, nécessite un pouvoir particulier de la pensée que les humains ne peuvent pas comprendre. La malice des Fées provient souvent d'un manque de compréhension. Elles sont si sensibles et si délicates qu'elles ne comprennent pas la maladresse des êtres humains. Elles pensent que les hommes devraient être assez sensibles pour savoir quand ils se montrent blessants.
Les fées aiment bien parler : Elles ont un langage propre, qui ressemble à la fois à celui du merle, au murmure de la rivière ou à celui de la brise. Et elles ne montrent leur mauvais côté qu'en face de la brutalité et de la bêtise du genre humain.