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D'une raison d'être,
Sans l'évidence
Qu'elle vienne du ciel
Et sentir qu'une présence nous appelle...Il n'y a pas de hasard
quand on parle d'amour,
juste un signe à recevoir,
De LA-HAUT!Quelqu'un nous appelle.
Par une chanson,
Tisser la toile,
D'un papillon, à une étoile.
Sentir qu'une AILE
Leve le voile,
tout se démèle
Parce qu'en soi, une VOIX vous appelle.
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La FOLIE fait partie de la VIE
Je VIS sur des REGRETS
Je REGRETTE le PASSE
Je PASSE mes journées à essayer de tourner des PAGES.
Mais les PAGES sont trop lourdes en QUESTIONS
Alors je me QUESTIONNE sur moi le reste du TEMPS
On TEND tous à se RAISONNER
La RAISON permet d'éviter la FOLIE
Pourtant la FOLIE fait partie de la VIE
Mais je VIS sur des REGRETS
Je REGRETTE le PASSE
...
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Je sentis une présence auprès de moi,
Qui me suivait, au rythme de mes pas
Tel un félin qui guette sa proie...
Je compris alors qu'elle ne me laissera pas le choix.
Elle s'approcha, les battements de mon coeur s'accélèrèrent.
Elle était là, juste derrière.
Un souffle dans le cou vînt me glacer le sang.
Je distanguais pourtant son parfum, si envoutant.Sa main effleura ma taille et je découvris son visage.
Il était d'une beauté inimaginable:
Les traits fins, le teint pâle, le regard intense.
J'avais décidé de lui donner sa chance.L'Etre cher,
Croqua ma vie à pleines dents.
Je fus prise d'un malaise ennivrant
Lorsque ses crocs s'enfoncèrent,
Lentement dans ma chair...(à suivre...)
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Seule la Lune peut éclairer,
La rue sombre et déserte.
Des ombres dansent puis s'arretent.Des troncs se dressent devant moi,
Comme pour me faire prendre un autre chemin,
Comme pour me perdre jusqu'au matin...Le vent vient me fouetter le visage.
On dirait qu'il s'enfuit, lui aussi.
Il hurle dans chacun de ses virages,
On dirait qu'il a peur, lui aussi...Enfin, j'aperçois l'aube se lever.
Je suis sauvée.
Les ombres n'existent plus,
Le calme est revenu.Mais... où suis-je?
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SILENCE
Tuer par amour, tuer par erreur
Ne pense pas que tu peux vivre aussi.
Je ne crois pas que tu suives ton coeur,
Tu cours toujours, tu tues par oubli.Tu écoutes mon coeur battre en silence,
Pour étouffer le mal que tu m'as fait,
Doucement, écoutes la souffrance
D'un coeur ouvert : tu m'as assassinéePourquoi pleures-tu? Soulève tes paupieres,
Toujours de l'eau mais pas une poussières.
Je vois là un courant d'air de mensonges.Et c'est à cet endroit que je repose,
Tu te souviendras de mes lèvres closes.Silence! Maintenant, je ne suis plus qu'un songe...
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